Au mois de juillet, mon copain et moi sommes allés à New York. C’était un voyage que je désirais depuis longtemps, parce que voir cette merveilleuse ville à la télé ou au cinéma, et lire des romans de Paul Auster m’avait fait l’aimer.
Nous avons décollé de l’aéroport de Barajas le dimanche après-midi, et sommes arrivés au JFK à 9 heures du soir environ. Après nous avoir enregistrés à l’hôtel, nous sommes allés faire notre première promenade au centre ville. L’hôtel (Milford Plaza, très recommandable) était très près de Times Square, où la nuit est toujours animée avec musique, marchands ambulants, artistes… et les magasins sont ouverts jusqu’à minuit.
La chambre qu’on nous a assignée donnait sur le coin entre la 8ème avenue et la 44e rue. Les vues étaient purement new-yorkaises: à toute heure les taxis jaunes passaient en dessous, comme des volées d’oiseaux, les sirènes de la police ou les pompiers sonnaient, proches ou lointaines, mais toujours présentes. De la fenêtre on voyait aussi le bâtiment vitré de l’agence de presse Reuters, quelques affiches des pièces de Broadway, le quai où le Titanic aurait dû arriver (qui, de nos jours, est un petit terrain de golf) ou les petites lumières de New Jersey, sur l’autre rive du Hudson.
Rien que voir cela, j’étais énormément heureuse, mais chaque jour, avec chaque pas que je faisais, je tombais de plus et plus amoureuse de la « grand pomme ». Dans ce premier chapitre je ne veux pas oublier de mentionner l’amabilité et la sympathie des gens de NY. Bien qu’on dise souvent que les grandes villes déshumanisent leurs sociétés, il y a beaucoup de grands sourires à l’île de Manhattan.
Au mois de juillet, mon copain et moi sommes allés à New York. C’était un voyage que je désirais depuis longtemps, parce que voir cette merveilleuse ville à la télé où au cinéma, et lire des romans de Paul Auster m’avait fait l’aimer.
Nous avons décollé de l’aéroport de Barajas le dimanche après-midi, et sommes arrivés au JFK à 9 heures du soir environ. Après nous êtres enregistrés à l’hôtel, nous sommes allés faire notre première promenade au centre ville. L’hôtel (Milford Plaza, très recommandable) était très près de Times Square, où la nuit est toujours animée avec musique, marchands ambulants, artistes… et les magasins sont ouverts jusqu’à minuit.
Notre chambre donnait sur le coin entre la 8ème avenue et la 44e rue. Les vues étaient purement new-yorkaises: à toute heure les taxis jaunes passaient en dessous, comme des volées d’oiseaux, les sirènes de la police où les pompiers sonnaient, proches ou lointaines, mais toujours présents. De la fenêtre on voyait aussi le bâtiment vitré de l’agence de presse Reuters, quelques affiches des pièces de Broadway, le quai où le Titanic aurait dû arriver (qui, de nos jours, est un petit terrain de golf) ou les petites lumières de New Jersey, sur l’autre rive du Hudson.
Le simple fait de voir cela, j’étais extrêmement heureuse, mais chaque jour, avec chaque pas que je faisais, je tombais plus et plus amoureuse de la « grande pomme ». Dans ce premier chapitre je ne veux pas oublier de mentionner l’amabilité et la sympathie des gens de NY. Bien qu’on dise souvent que les grandes villes déshumanisent leurs sociétés, il y a beaucoup de grands sourires à l’île de Manhattan.
Au mois de juillet, mon copain et moi sommes allés à New York. C’était un voyage que je désirais faire depuis longtemps, parce que voir cette merveilleuse ville à la télé où au cinéma et lire des romans de Paul Auster m’avait fait l’aimer.
Nous avons décollé de l’aéroport de Barajas le dimanche après-midi, et sommes arrivés au JFK à 9 heures du soir environ. Après avoir nous être enregistrés à l’hôtel, nous sommes allés faire notre première promenade au centre ville. L’hôtel (Milford Plaza, très recommandable) était très près du Times Square, où la nuit est toujours animé avec musique, marchants ambulants, artistes… et les magasins sont ouverts jusqu’à minuit.
La chambre que l’on nous a assignée donnait sur le carrefour entre la 8ème avenue et la 44e rue. La vue était purement new-yorkaises: à toute heure les taxis jaunes passaient en dessous, comme des volées d’oiseaux, les sirènes de la police où des pompiers sonnaient, proches ou lointaines, mais toujours présentes. De la fenêtre on voyait aussi le bâtiment vitré de l’agence de presse Reuters, quelques affiches des pièces de Broadway, le quai où le Titanic aurait dû arriver (qui, de nos jours, est un petit terrain de golf) ou les petites lumières du New Jersey, sur l’autre rive du Hudson.
Rien qu’en voyant cela, j’étais follement heureuse, et chaque jour, avec chaque pas que je faisais, je tombais de plus en plus amoureuse de la « grand pomme ». Dans ce premier chapitre je ne veux pas oublier de mentionner l’amabilité et le sympathie des gens de NY. Bien que l’on dise souvent que les grandes villes déshumanisent leurs sociétés, il y a beaucoup de grands sourires sur l’île de Manhattan.