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Texto de corrección del usuario Hiro Nakamura

Je peux parler de tout. Je peux tout dire. Je peux vous parler de tout ce que j'ai vécu. Je ne peux dire que ce dont je me rappelle. Je peux vous parler de mon premier pas, de mon premier vélo, ou même de mon premier amour. Mais vous ne pourrais jamais entendre les paroles d'un muet.
Mes mots n’ont aucun sens si je ne peux pas parler. Les mots n’ont pas de sens s’ils ne peuvent pas décrire ce que je sens. Ma bouche brule de désir et mes lèvres suent la salive. Ma bouche est pleine de mots qui refusent de se mêler à la guerre que mène la société. Cette guerre qui porte le drapeau rouge contre les leadeurs du mouvement "changiste". Ces propos semblent anarchique­s, ces sentiments semblent troublés. Mais en connaissan­ce de cause, vous comprendre­z que ma vie est un livre ouvert. Tous ceux qui sont allés vers le puits, y ont trouvés une eau douce.
Tout commence pour moi le jour ou j’ai eu le résultat de mon bac. Je ne me rappelle pas d’une date précise, mais c’est en l’an 2005. Le jour ou ma vie estudianti­ne commence, c’est ma vie familiale qui se précipite vers le désastre… et je crains le pire. Mes relations avec mon père, ma mère, mes frères et sœurs ont connus des moments mieux que ça, mais dans la vie il y a des hauts et des bas. Et depuis cette date, la chute devient imminente. Ma vie risque de basculer à tout moment… je suis une bombe à retardemen­t! J’ai donc choisis ce moment de paix pour essayer de dénouer ma langue, pour enfin écrire quelques mots qui valent avant d’appuyer sur le détonateur.
Je ne cachais pas ma joie pour le résultat de mon orientatio­n cette époque, mais c’est simplement que je n’avais éprouvé aucune joie pour ce que j’avais choisis de faire durant le restant de mes jours. Je voulais être architecte, je suis ingénieur en génie logiciel! Je n’ai pas pu réaliser mon rêve. Ce n’était pas un simple rêve, c’était mon premier. Tous les enfants veulent devenir pompiers, médecins, pilotes et même ceux qui veulent devenir architecte comme moi. Tout ce que je voulais du fond du cœur c’est devenir architecte car je savais que je pouvais bâtir ma maison moi-même, brique par brique. C’était le premier sacrifice que j’ai fait, et j’en mords les doits.
Je fais l’inscriptio­n dans mon nouvel institut, je commence à suivre tous les cours, je me fais des amis… je me mets enfin dans l’idée que tout est fini pour mon rêve. Je commence donc à me fixer de nouveaux buts, de nouveaux rêves, de nouvelles visions sur le futur. La première de mes priorités, c’est de connaitre le nouveau « moi » qui suis devenu après le tsunami de 2005. Je voulais tout connaitre sur moi: ma couleur préférée, mon arome préféré, mon meilleur ami, la taille de ma verge. Tout me semblait, comment dire, bizarre! Je me suis posé des milliers de question dans ma vie, mais il y en a une à laquelle je n’ai pas trouvé une réponse tout de suite. Une question tellement débile, que la réponse ne doit même pas être réfléchie. Je n’avais pas la réponse à ces questions dans ma tête, donc je devais la chercher ailleurs. Je devais me tester pour mieux me connaitre.
Dans cette époque, je n’avais jamais eu une relation amoureuse. Pas une seule fois, pas une seule fois je n’ai sorti avec une fille. Aussi étrange que cela peut-il paraitre, mais je n’avais jamais pensé aux filles. Je vous assure que je ne suis pas gay, mais la question ne se posait même pas. Je savais donc ce que je devais faire en premier lieux: je dois tout connaitre sur mon gout des filles! Cela c’est effectivem­ent passé, quelques jours après le résultat du bac, l’un de mes meilleurs amis m’a donné le numéro de portable d’une fille, qu’il dit qu’elle est sympa. Je ne la connaissai­s pas, je n’avais jamais entendu parler d’elle auparavant. Cette fille a réveillé en moi des sensations que je ne connaissai­s pas en moi. L’amour est l’une des sensations que je ne connaissai­s pas. Je savais qu’une douleur tendre et douce parcourait tout mon corps jusqu’à ce qu’elle s’arrête dans mon cœur. Mon rythme cardiaque s’accélère légèrement et une substance aphrodisia­que remplace ma salive qui éveille en moi l’homme que je suis. C’est ce que je peux décrire par le mot amour.
Si je vous décris son sourire d’ange, ou sa silhouette de mannequin, ou même son regard confiant tout semblera parfait. Tout d’abord, j’ai trouvé le bonheur avec elle, mais c’était un bonheur qui n’était pas partagé. Disons que notre relation était dans un seul sens, le mien bien sûr. Je ne m’y connaissai­s pas en amour ni aux filles, mais je savais en quelque sorte que Mariam n’était pas faite pour moi. Même avec une aussi belle fille, je sentais que quelque chose manquait. Cette chose qui a fait que nous avons rompus quelque mois plus tard.
Savoir vivre son moment, est si différent de savoir tirer le maximum d’une situation. Cette première expérience m’était peu familière mais très bénéfique: je n’ai pas pu vivre pleinement le moment. Par contre, j’ai pu connaitre mieux quel genre de filles me faisaient tourner la tête, et c’est sûr que Mariam en faisait partie.
Sans pour autant connaitre cette chose qui manquait dans notre relation, je ne pouvais pas m’en sortir intact de cette expérience. J’avais le cœur brisé, mais j’avais un cœur très grand, et je sais maintenant que tout le monde ne le mérite pas.
idioma: Francés   Idiomas: Hablante nativo, Competencia


Corregido Guillaume R.

Je peux parler de tout. Je peux tout dire. Je peux vous parler de tout ce que j'ai vécu. Je ne peux dire que ce dont je me rappelle. Je peux vous parler de mon premier pas, de mon premier vélo, ou même de mon premier amour. Mais vous ne pourrez jamais entendre les paroles d'un muet.
Mes mots n’ont aucun sens si je ne peux pas parler. Les mots n’ont pas de sens s’ils ne peuvent pas décrire ce que je sens. Ma bouche brûle de désir et mes lèvres suent la salive. Ma bouche est pleine de mots qui refusent de se mêler à la guerre que mène la société. Cette guerre qui porte le drapeau rouge contre les leaders du mouvement "changiste". Ces propos semblent anarchique­s, ces sentiments semblent troublés. Mais en connaissan­ce de cause, vous comprendre­z que ma vie est un livre ouvert. Tous ceux qui sont allés vers le puits y ont trouvé une eau douce.
Tout commence pour moi le jour j’ai eu le résultat de mon bac. Je ne me rappelle pas d’une date précise, mais c’est en l’an 2005. Le jour ma vie estudianti­ne commence, c’est ma vie familiale qui se précipite vers le désastre… et je crains le pire. Mes relations avec mon père, ma mère, mes frères et sœurs ont connus des moments mieux que ça, mais dans la vie il y a des hauts et des bas. Et depuis cette date, la chute devient imminente. Ma vie risque de basculer à tout moment… je suis une bombe à retardemen­t! J’ai donc choisi ce moment de paix pour essayer de dénouer ma langue, pour enfin écrire quelques mots qui valent avant d’appuyer sur le détonateur.
Je ne cachais pas ma joie pour le résultat de mon orientatio­n à cette époque, mais c’est simplement que je n’avais éprouvé aucune joie pour ce que j’avais choisi de faire durant le restant de mes jours. Je voulais être architecte, je suis ingénieur en génie logiciel! Je n’ai pas pu réaliser mon rêve. Ce n’était pas un simple rêve, c’était mon premier. Tous les enfants veulent devenir pompiers, médecins, pilotes et même ceux qui veulent devenir architecte­s comme moi. Tout ce que je voulais du fond du cœur, c’est devenir architecte car je savais que je pouvais bâtir ma maison moi-même, brique par brique. C’était le premier sacrifice que j’ai fait, et j’en mords les doigts.
Je fais l’inscriptio­n dans mon nouvel institut, je commence à suivre tous les cours, je me fais des amis… je me mets enfin dans l’idée que tout est fini pour mon rêve. Je commence donc à me fixer de nouveaux buts, de nouveaux rêves, de nouvelles visions sur le futur. La première de mes priorités, c’est de connaître le nouveau « moi » que je suis devenu après le tsunami de 2005. Je voulais tout connaître sur moi: ma couleur préférée, mon arome préféré, mon meilleur ami, la taille de ma verge. Tout me semblait, comment dire, bizarre! Je me suis posé des milliers de questions dans ma vie, mais il y en a une à laquelle je n’ai pas trouvé une réponse tout de suite. Une question tellement débile, que la réponse ne doit même pas être réfléchie. Je n’avais pas la réponse à ces questions dans ma tête, donc je devais la chercher ailleurs. Je devais me tester pour mieux me connaître.
À
cette époque, je n’avais jamais eu une relation amoureuse. Pas une seule fois, pas une seule fois, je n’étais sorti avec une fille. Aussi étrange que cela peut paraître, je n’avais jamais pensé aux filles. Je vous assure que je ne suis pas gay, mais la question ne se posait même pas. Je savais donc ce que je devais faire en premier lieu: je devais tout connaître sur mon goût des filles! Cela c’est effectivem­ent passé, quelques jours après le résultat du bac, l’un de mes meilleurs amis m’a donné le numéro de portable d’une fille, qu’il dit qu’elle est sympa. Je ne la connaissai­s pas, je n’avais jamais entendu parler d’elle auparavant. Cette fille a réveillé en moi des sensations que je ne connaissai­s pas en moi. L’amour est l’une des sensations que je ne connaissai­s pas. Je savais qu’une douleur tendre et douce parcourait tout mon corps jusqu’à ce qu’elle s’arrête dans mon cœur. Mon rythme cardiaque s’accélère légèrement et une substance aphrodisia­que remplace ma salive qui éveille en moi l’homme que je suis. C’est ce que je peux décrire par le mot amour.
Si je vous décris son sourire d’ange, ou sa silhouette de mannequin, ou même son regard confiant, tout semblera parfait. Tout d’abord, j’ai trouvé le bonheur avec elle, mais c’était un bonheur qui n’était pas partagé. Disons que notre relation était dans un seul sens, le mien bien sûr. Je ne m’y connaissai­s pas en amour ni aux filles, mais je savais en quelque sorte que Mariam n’était pas faite pour moi. Même avec une aussi belle fille, je sentais que quelque chose manquait. Cette chose qui a fait que nous avons rompu quelque mois plus tard.
Savoir vivre son moment est si différent de savoir tirer le maximum d’une situation. Cette première expérience m’était peu familière mais très bénéfique: je n’ai pas pu vivre pleinement le moment. Par contre, j’ai pu connaître mieux quel genre de filles me faisaient tourner la tête, et c’est sûr que Mariam en faisait partie.
Sans pour autant connaître cette chose qui manquait dans notre relation, je ne pouvais pas m’en sortir intact de cette expérience. J’avais le cœur brisé, mais j’avais un cœur très grand, et je sais maintenant que tout le monde ne le mérite pas.

Corregido biskottt

Je peux parler de tout. Je peux tout dire. Je peux vous parler de tout ce que j'ai vécu. Je ne peux dire que ce dont je me rappelle. Je peux vous parler de mon premier pas, de mon premier vélo, ou même de mon premier amour. Mais vous ne pourrez jamais entendre les paroles d'un muet.
Mes mots n’ont aucun sens si je ne peux pas parler. Les mots n’ont pas de sens s’ils ne peuvent pas décrire ce que je sens. Ma bouche brule de désir et mes lèvres suent la salive. Ma bouche est pleine de mots qui refusent de se mêler à la guerre que mène la société. Cette guerre qui porte le drapeau rouge contre les leaders du mouvement "changiste". Ces propos semblent anarchique­s, ces sentiments semblent troublés. Mais en connaissan­ce de cause, vous comprendre­z que ma vie est un livre ouvert. Tous ceux qui sont allés vers le puits, y ont trouvés une eau douce.
Tout commence pour moi le jour ou j’ai eu le résultat de mon bac. Je ne me rappelle pas d’une date précise, mais c’est en l’an 2005. Le jour ou ma vie étudiante commence, c’est ma vie familiale qui se précipite vers le désastre… et je crains le pire. Mes relations avec mon père, ma mère, mes frères et sœurs ont connus des moments mieux que ça, mais dans la vie il y a des hauts et des bas. Et depuis cette date, la chute devient imminente. Ma vie risque de basculer à tout moment… je suis une bombe à retardemen­t! J’ai donc choisi ce moment de paix pour essayer de dénouer ma langue, pour enfin écrire quelques mots qui valent avant d’appuyer sur le détonateur.
Je ne cachais pas ma joie pour le résultat de mon orientatio­n cette époque, mais c’est simplement que je n’avais éprouvé aucune joie pour ce que j’avais choisi de faire durant le restant de mes jours. Je voulais être architecte, je suis ingénieur en génie logiciel! Je n’ai pas pu réaliser mon rêve. Ce n’était pas un simple rêve, c’était mon premier. Tous les enfants veulent devenir pompiers, médecins, pilotes et même ceux qui veulent devenir architecte comme moi. Tout ce que je voulais du fond du cœur c’est devenir architecte car je savais que je pouvais bâtir ma maison moi-même, brique par brique. C’était le premier sacrifice que j’ai fait, et j’en mords les doigts.
Je fais l’inscriptio­n dans mon nouvel institut, je commence à suivre tous les cours, je me fais des amis… je me mets enfin dans l’idée que tout est fini pour mon rêve. Je commence donc à me fixer de nouveaux buts, de nouveaux rêves, de nouvelles visions sur le futur. La première de mes priorités, c’est de connaitre le nouveau « moi » que suis-je devenu après le tsunami de 2005. Je voulais tout connaitre sur moi: ma couleur préférée, mon arôme préféré, mon meilleur ami, la taille de ma verge. Tout me semblait, comment dire, bizarre! Je me suis posé des milliers de question dans ma vie, mais il y en a une à laquelle je n’ai pas trouvé une réponse tout de suite. Une question tellement débile, que la réponse ne doit même pas être réfléchie. Je n’avais pas la réponse à ces questions dans ma tête, donc je devais la chercher ailleurs. Je devais me tester pour mieux me connaitre.
Dans cette époque, je n’avais jamais eu une relation amoureuse. Pas une seule fois, pas une seule fois je ne suis sorti avec une fille. Aussi étrange que cela puisse paraitre, je n’avais jamais pensé aux filles. Je vous assure que je ne suis pas gay, mais la question ne se posait même pas. Je savais donc ce que je devais faire en premier lieu: je dois tout connaitre sur mon gout des filles! Cela c’est effectivem­ent passé, quelques jours après le résultat du bac, l’un de mes meilleurs amis m’a donné le numéro de portable d’une fille, dont il dit qu’elle est sympa. Je ne la connaissai­s pas, je n’avais jamais entendu parler d’elle auparavant. Cette fille a réveillé en moi des sensations que je ne connaissai­s pas en moi. L’amour est l’une des sensations que je ne connaissai­s pas. Je savais qu’une douleur tendre et douce parcourait tout mon corps jusqu’à ce qu’elle s’arrête dans mon cœur. Mon rythme cardiaque s’accélère légèrement et une substance aphrodisia­que remplace ma salive qui éveille en moi l’homme que je suis. C’est ce que je peux décrire par le mot amour.
Si je vous décris son sourire d’ange, ou sa silhouette de mannequin, ou même son regard confiant tout semblera parfait. Tout d’abord, j’ai trouvé le bonheur avec elle, mais c’était un bonheur qui n’était pas partagé. Disons que notre relation était dans un seul sens, le mien bien sûr. Je ne m’y connaissai­s pas en amour ni aux filles, mais je savais en quelque sorte que Mariam n’était pas faite pour moi. Même avec une aussi belle fille, je sentais que quelque chose manquait. Cette chose qui a fait que nous avons rompu quelque mois plus tard.
Savoir vivre son moment, est si différent de savoir tirer le maximum d’une situation. Cette première expérience m’était peu familière mais très bénéfique: je n’ai pas pu vivre pleinement le moment. Par contre, j’ai pu connaitre mieux quel genre de filles me faisaient tourner la tête, et c’est sûr que Mariam en faisait partie.
Sans pour autant connaitre cette chose qui manquait dans notre relation, je ne pouvais pas sortir intact de cette expérience. J’avais le cœur brisé, mais j’avais un cœur très grand, et je sais maintenant que tout le monde ne le mérite pas.

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